[Fan-fiction] Une aventure pleine de théories débiles écrite grâce à l'insomnie. <- C'EST LONG

Salut ! Quand je ne dors pas, parfois jécris. Ça me permet de vider un peu ma tête de toutes ces histoires folles et ces personnages qui prennent de la place. Ceci dit je n'ai jamais partagé ce que j'écris et je n'ai jamais écris de fan fictions de quoi que ce soit... Ceci et ma TOUTE première.

Et encore, pour l'instant ce ne sont que les 2 premiers chapitres de l'histoire que j'ai en tête.
V
oici les 2 premiers chapitres de mon histoire basée sur les personnages et l'univers du VDF.
Contient des spoilers et des théories peu probable.

Bises !

EDIT fin aout: Au fait je vais pas continuer j'ai la flemme.

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Chapitre uno: En route, et avec les sirènes s’il vous plaît.

C’est en ouvrant sa boite aux lettres que Raph se rendit compte du rassemblement dans la cour de l’immeuble. N’ayant pas encore bu sa bière de 11 heures du mat’, il n’avait pas fait attention au brouhaha causé par celui-ci en descendant.

Peu intéressé par les commérages de ses voisins, il reprit la route vers les escaliers, moultes factures en main. Ce n’est qu’en s'apprêtant à compter les marches comme à son habitude qu’un des bourdonnements émanant de la foule attira tout de même son attention:

“Mais qu’est ce qu’il pue quand même ! Z’êtes sûrs qu’il est pas crevé ?”

Une autre exclamation lui fit faire volte-face:  

“C’est de pire en pire les clodos par ici, et moi je vous dis que c’est la vielle du premier qui les laisse entrer exprès pour nous faire chier !”

Par reflex, Raph froissa la paperasse qu’il tenait et la glissa dans sa poche de jeans avant de sprinter jusqu’à l'évènement, bousculant deux-trois personnes au passage. “Putain j’y crois pas.” se dit-il en se frayant un chemin pour y voir plus clair. “Des semaines qu’il me laisse sans nouvelles et il a le culot de venir clamser devant chez moi un samedi !”. Malgré cette mauvaise pensée Raph espérait sincèrement que son ami se trouverait là, bien vivant, pour l'entraîner dans une nouvelle aventure pittoresque. Il s’emmerdait vraiment depuis quelques temps. C’est donc avec un certain soulagement qu’il aperçu enfin Ren… euh, le Visiteur (Faut pas déconner on va pas utiliser un nom aussi nul dans cette fan fiction) affalé par terre. Restait juste à savoir si il était en vie…

“Je le connais ce mec ! Qu’est-ce qui s’est passé ici ?” Demanda-t-il aux râleurs matinaux d’une voix mi-inquiète, mi-agaçée. Il eu du mal à obtenir une réponse claire tellement les commentaires fusèrent suite à sa question:

“Ah bah on fréquente du beau monde !” “Il est apparu tout d’un coup au beau milieu de la cour puis il s’est effondré, je le jure !” “Mais non Jacqueline tu dis n’importe quoi…” “Mais enfin c’est vrai !” “Moi je l’ai clairement vu entrer…” “Il a bougé là non ?” “C’est dégoûtant, comment peut-on se laisser aller à ce point !” “Je crois qu’il est tombé d’un balcon moi !” “C’est pas ce criminel qui est passé aux infos hier soir ?” “Vivement que l’ambulance arrive tout de même…” “Bah ! C’est la police qu’on aurait dû appeler !” “Oh Pierre tu exagères…”

Comme si la situation avait besoin d’être encore plus bruyante, la fameuse ambulance s'arrêtât devant la cour, vomissant des ambulanciers motivés et chargés de matériel. Ils réussirent tant bien que mal à éparpiller les curieux et commencèrent leur boulot d’ambulanciers que l’on ne détaillera pas ici parce que l’auteur ne s’y connaît rien et n’a pas envie d’éplucher Wikipedia à 5 heures du matin.

“Il respire et on a un pouls” Dit finalement l’un d’eux (eh ouais ça je sais que c’est important, quand même je l’ai vu à la télé). “On dirait qu’il s’est juste évanoui mais difficile à dire avec toutes ces blessures de partout.” Un autre gaillard en uniforme qui questionnait les spectateurs acquiesça: “On l’embarque, apparemment c’est un SDF.”

Raph réagit enfin alors qu’ils embarquaient le Visiteur toujours HS à l’arrière de l’ambulance: “Euh… Eh ! Attendez ! Je le connais moi !  Je viens ouuu... ?”

Il obéit a un rapide hochement de tête et grimpa à son tour dans l’ambulance qui démarra aussi tôt. À sa grande déception, pas de sirènes…

Chapitre dos: Aux catacombes ! Du thé ? Un petit café ?

Raph s’attendait à devoir patienter de longues heures stressantes dans une salle d’attente glauque pour avoir des nouvelles, comme dans les séries médicales, mais le docteur s’approcha de lui à peine une vingtaine de minutes après son arrivée à l’hôpital, l’air blasé et armé d’un formulaire:

“Bon… Alors vous allez devoir me remplir ça avec ses infos, signer ici et…”

“Euh attendez là, oh oh” Interrompit un Raph qui se sentait clairement bousculé par tant d'évènements forts d’un coup (faut pas se moquer). “Il va bien au moins ? Il est mort ? C’est pour quoi ce formulaire parce que je vous préviens si il faut payer quoi que ce soit…”

“Mais oui il va bien ! Enfin, relax mon gars. Il avait faim ton protégé c’est tout, il a pas dû trouver son compte dans les poubelles alors il est tombé dans les pommes… Ha ha, si seulement il était littéralement tombé dans des pommes… Parce qu’il aurait à manger… Tu piges ?” Rétorqua le docteur, visiblement très fier de sa blague.

“Ouais ouais je pige, c’est très drôle…C’est pas mon protégé par contre, faut arrêter avec ça j’en ai ras le bol... Bon, alors c’est quoi votre machin là ?”

“Juste une p’tite formalité, une fiche d’informations, au cas où il serait ramené ici ultérieurement. Rien à payer, il mange et il sort de là. Bon ne perdons pas de temps: Son nom ?”

“Euh… Renard.” “Pardon ?” “Renard… Comme un renard quoi.” “C’est vraiment un nom de merde ça.”

Le formulaire plus ou moins rempli et le comédien de l’hôpital enfin éloigné, Raph se dirigea vers le lit qu’on venait de lui indiquer, dans la grande salle commune aux internes de durée aussi courte que possible. Il ne s’était pas trouvé dans un hôpital depuis ses 8 ans, pour son opération de l'appendicite qui l’avait plutôt traumatisé.
À peine le rideau écarté qu’il fut accueilli par un Visiteur se goinfrant, surexcité et drôlement bruyant. Décidément, jamais un moment de silence…

“BRRFF ! MFKONSRNDOKOPOKOMBBEPOREH !”
(Traduction pour ceux qui ne lisent pas le dialecte “bouche pleine”: Raph !  Faut qu’on se rende aux catacombes de Paris !”)

“J’ai rien compris…” Soupira Raph (il n’avait pas accès à la traduction), soudainement tout sauf inquiet pour son ami. “Et salut, au passage.”

Une fois la colossale bouchée de… Mieux vaut ne pas savoir quoi avalée, le Visiteur reprit:

“Salut ! Faut qu’on se rende aux catacombes de Paris tout de suite. Là, maintenant, pas une seconde à perdre ! Henry doit nous y attendre depuis plus de 200 ans ! Et puis forcément il doit s’être éteint depuis le temps sans café ni thé… Putain faut vraiment qu’on le retrouve vite… Quelqu’un pourrait le découvrir à tout moment. AH ! QU’EST CE QUI SE PASSERAIT !? Et puis passes moi la machine s’il te plaît, elle déconne sévère mais elle va nous être utile quand même.”

Raph tressaillît à la mention de la machine. Il n’eut même pas le temps de réaliser l’absurdité des propos qu’il venait d’entendre. Comment avait-il pu passer à côté du fait que ce bidule manquait au bras du Visiteur lorsqu’il était inconscient ? Les pires possibilités lui traversèrent l’esprit… N’importe quel ignorant de son immeuble pourrait être en possession de la machine, qui déconne en plus !

“Ah oui, la machine… Je… Je ne pensais pas que tu l’avais sur toi. Je croyais que tu étais entré dans la cour en marchant… Comme un mec normal quoi.”


Chapitre tres: Les Castafoltes et la molécule C8H10N4O2

COMING SOON (MAYBE)

J'adore , j'adore vivement la suite

Merci Peggy c'est gentil. C'est sans prétentions mais je me suis bien amusée, et puis mince faut que je me la sorte du crâne cette histoire.
La suite la prochaine fois que j'arrive pas à dormir.